L'université américaine Harvard a décerné à l'étudiante palestinienne « Sarah Nizar Abu Rachid » une bourse d'études de 1,2 million de dollars, pour son excellence académique et scolaire ainsi que pour avoir obtenu la première place au niveau des États-Unis d'Amérique.

Sarah, fille du camp de Yarmouk, qui a fui l'enfer de la guerre en Syrie pour la ville d'Ohio aux États-Unis, a réussi à s'intégrer à sa nouvelle communauté et à réaliser un succès impressionnant dans ses acquis scolaires, au point que dix universités américaines ont rivalisé pour l'accueillir, dont l'université Harvard.

L'université Harvard est l'une des universités américaines les plus prestigieuses et les meilleures au monde, elle occupe la première place sur la liste des cent meilleures universités au monde, et elle est située dans la ville de Cambridge dans l'État du Massachusetts au nord-est des États-Unis,
elle accueille l'élite de la société américaine depuis 1636 (c’est-à-dire avant l’indépendance du pays), et elle adopte la devise « vérité » comme slogan.

Les origines de Sarah remontent à la ville de Haïfa. Elle a émigré il y a 8 ans de Syrie à cause du déclenchement de la guerre. Elle réside et étudie aux États-Unis d'Amérique.
Elle est poétesse et écrivaine, elle a des contributions, participations et études dans plus de dix livres et magazines américains, membre du conseil d'administration du Forum de la créativité des jeunes à la Fondation internationale de la créativité palestinienne.. Un de ses poèmes a été inclus dans le programme d'anglais pour les élèves du secondaire au niveau des États-Unis, et elle a été choisie en 2018 comme l'une des vingt étudiantes et étudiants au monde pour assister à la conférence de la démocratie des ambassadeurs en Grèce.
Sarah a publié une pièce de théâtre intitulée « Carte de moi-même » dans laquelle elle raconte son histoire et celle de sa famille avec l'identité, l'émigration et la diaspora, qui a été jouée plus de seize fois dans plusieurs États américains.