Nouvelles du Canada arabe
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Publié: avril 26, 2025
Bien sûr !
Voici la formulation professionnelle basée sur le contenu du rapport de CBC :
Ottawa – Arab Canada News
À l'approche de la dernière semaine de la campagne électorale fédérale, le nom du président américain Donald Trump est fortement présent dans les débats politiques canadiens, alors que le chef du Parti libéral Mark Carney et le leader du Parti conservateur Pierre Poilievre cherchent à exploiter les positions divergentes à l'égard de Trump pour soutenir leurs campagnes électorales.
Au cours des dernières semaines, Carney s'est concentré sur la présentation de Poilievre comme une personne idéologiquement proche de Trump, avertissant que le Canada pourrait être en danger si un chef conservateur qui « ne comprend pas les risques économiques et politiques » liés à la nouvelle administration Trump était élu, notamment en raison des menaces américaines d'imposer des droits de douane supplémentaires et des mesures commerciales strictes contre Ottawa.
De son côté, Poilievre cherche à éviter de s'engager directement dans la relation avec Trump, axant sa campagne sur des questions locales telles que l'inflation et la hausse du coût de la vie, tout en critiquant ce qu'il appelle « l'échec des libéraux à protéger les intérêts économiques canadiens » lors des précédentes négociations avec Washington.
Des analystes indiquent que l'utilisation du nom de Trump dans cette campagne électorale reflète une profonde inquiétude quant à l'impact potentiel américain sur le Canada, en particulier dans des dossiers cruciaux comme le commerce, l'énergie et l'immigration.
Le rapport souligne également que les divisions régionales sont devenues plus nettes dans les intentions de vote, avec un net progrès des libéraux en Ontario et au Québec, tandis que les conservateurs maintiennent une forte avance dans la plupart des régions de l'Ouest canadien.
À quelques jours seulement du jour du scrutin le 28 avril, il semble que la bataille pour le contrôle de l'opinion publique au Canada soit liée, au moins en partie, à la manière dont les dirigeants gèrent le « fantôme Trump » qui plane sur le climat électoral.
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