Les sources d'énergie renouvelable sont un symbole de la préservation de l'environnement et du retour de la nature terrestre à son état naturel en réduisant les émissions de carbone, ce qui aide au développement agricole et à la protection de la propreté de l'environnement dans lequel nous vivons au Canada, qui réalise de nombreux projets d'énergie renouvelable dans différentes provinces ,  En coordination avec cela, la Commission des services publics d'Alberta (AUC) a publié hier un rapport disant que le développement des sources d'énergie renouvelable ne constitue pas une menace significative pour l'agriculture ou l'environnement.

La commission affirme également dans son rapport qu'il n'y a pas de consensus sur les paysages qui devraient être protégés pour leur valeur panoramique.

Le gouvernement de l'Alberta avait demandé à la commission de préparer ce rapport dans le cadre de sa décision de suspendre les approbations des projets d'énergie renouvelable dans la province.

La commission ajoute que la restauration des terres occupées par l'industrie des énergies renouvelables et leur dépollution est un processus moins risqué comparé aux terres occupées par d'autres industries.

Le gouvernement du Parti conservateur uni (UCP) à Edmonton a mis fin à ce gel à la fin du mois dernier en imposant des restrictions importantes sur les projets d'énergies renouvelables, notamment en interdisant leur développement dans des zones présentant des « paysages vierges ».

Le gouvernement de Danielle Smith a exprimé ses préoccupations quant au fait que les parcs éoliens, composés d'éoliennes, et les fermes solaires, comprenant des panneaux photovoltaïques, pourraient empiéter sur des terres agricoles de bonne qualité.

Cependant, le rapport de la Commission des services publics indique que malgré la croissance rapide des projets d'énergie renouvelable en Alberta, ces projets n'occuperont que moins de 1 % des terres agricoles de la province d'ici 2041.

La commission conclut qu'il n'y a pas de consensus sur ce qui constitue des « paysages vierges », mais elle ajoute que le processus de dépôt des demandes peut inclure une forme de consultation avec les communautés locales.

Il convient de noter que la Commission des services publics est un organisme quasi judiciaire, ce qui signifie qu'elle dispose de nombreuses autorités similaires à celles d'un tribunal judiciaire.