Le cheikh Naïm Qassem, secrétaire général du « Hezbollah », a affirmé, lors de la commémoration annuelle de l'assassinat de Qassem Soleimani, Abu Mahdi al-Muhandis et leurs compagnons, que le martyr Soleimani a joué un rôle central dans la direction de frappes sévères contre Israël, la confrontation aux plans de « Daech » et la remise en lumière de la cause palestinienne à travers la centralité du combat.

Qassem a évoqué l'expérience libanaise, soulignant la grande différence entre l'invasion israélienne du Liban en 1982 lorsqu'ils ont atteint Beyrouth en quelques heures, et l'agression de 2024 où ils n'ont pas pu progresser de plus de quelques centaines de mètres grâce à la ténacité des membres du « Hezbollah » à la frontière sud.

Qassem a ajouté : « Cela reflète la force de la résistance et malgré cela, un accord a été conclu et approuvé par le Hezbollah via l'État libanais ».

Il a aussi indiqué que la bataille de « Ouli al-Baas » a constitué un tournant qui a déjoué les espoirs d'Israël au Liban, avertissant : « Notre patience pourrait s'épuiser avant la fin des 60 jours ».

Il semble que les déclarations du cheikh Qassem reflètent la confiance dans la force de la résistance et confirment la poursuite de l'engagement du « Hezbollah » dans la confrontation à l'occupation israélienne.