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Publié: novembre 7, 2024
Les Palestiniens évoquent le « Deal du siècle » que le président américain Donald Trump avait proposé au début de son premier mandat présidentiel. Malgré l'évolution du cours de l'accord, de nombreuses mesures prises par Trump et les réalisations durant son mandat restent inoubliables, notamment les décisions concernant la ville de Jérusalem qui revêt une importance majeure pour toutes les parties.
Lorsqu'il était au pouvoir, et précisément le 6 décembre 2017, le président américain de l'époque, Donald Trump, a décidé de transférer l'ambassade de son pays de Tel Aviv à Jérusalem, en la considérant comme la capitale d'Israël, et il a décidé de fermer le consulat américain dans la ville sainte.
Puis, le soutien aux hôpitaux palestiniens dans la ville a été arrêté, et les naissances à Jérusalem ont été enregistrées en notant qu'Israël est leur lieu de naissance.
Quels ont donc été les événements majeurs vécus par Jérusalem lorsque Trump était président de son pays entre les années : ?
Détails des décisions
Dans la déclaration par laquelle Trump a annoncé Jérusalem comme capitale d'Israël, il a été dit : « En 1995, le Congrès a adopté une loi incitant le gouvernement fédéral à transférer l'ambassade américaine (de Tel Aviv) à Jérusalem, en reconnaissant que cette ville d'une grande importance est la capitale d'Israël ».
Trump a effectivement transféré l'ambassade de son pays de Tel Aviv à Jérusalem le 18 mai 2018. Le choix de cette date n'était pas anodin, car c'est le jour où Israël célèbre l'anniversaire de sa fondation.
Quelques mois plus tard, précisément le 7 septembre 2018, le département d'État américain a annoncé l'arrêt du versement de 25 millions de dollars prévus pour six hôpitaux palestiniens à Jérusalem afin de les aider.
Le 29 octobre 2020, Washington a permis aux Américains nés à Jérusalem de mentionner « Israël » comme lieu de naissance.
Ces décisions n'étaient pas isolées, elles ont été accompagnées par l'arrêt du versement de 200 millions de dollars qui auraient été envoyés comme aides économiques pour la Cisjordanie et Gaza, selon un communiqué de la Maison Blanche daté du 25 août 2018 et relayé par l'Agence de presse officielle palestinienne « Wafa ».
De plus, le département d'État américain a annoncé dans un communiqué daté du 1er septembre 2018 la suspension de tout soutien financier à toutes les institutions de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens « UNRWA ». La contribution des États-Unis a ainsi diminué à 60 millions la même année.
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