Dans des déclarations récentes, le président américain élu, Donald Trump, a renouvelé ses menaces contre le Hamas et le Moyen-Orient, affirmant que si les otages israéliens détenus dans la bande de Gaza ne sont pas libérés avant son investiture le 20 janvier, un "enfer" éclatera dans la région.

Trump a ajouté : « Si ces otages ne sont pas libérés au moment où je prendrai mes fonctions, il y aura un enfer à payer. »

Il a indiqué qu’il ne souhaite pas faire échouer les négociations en cours concernant les otages, mais il a mis en garde contre de graves conséquences si ces négociations échouent.

De son côté, l'envoyé de Trump au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a déclaré : Je me rendrai aujourd’hui à Doha pour rejoindre les pourparlers sur l’échange des prisonniers – il y a de bons progrès, et j’espère qu’à l’investiture du président Trump, nous aurons de bonnes nouvelles à annoncer.

D’autre part, le Hamas a maintenu sa demande de mettre complètement fin à l’attaque israélienne contre la bande de Gaza comme condition pour la libération des détenus, ce qui complique davantage les négociations.

Ces déclarations interviennent à un moment sensible, alors que la communauté internationale cherche à parvenir à un accord pour un cessez-le-feu à Gaza, dans un contexte de tensions croissantes et de menaces réciproques entre les parties concernées.