Les pertes de l'État d'occupation s'accumulent en raison de la poursuite de la guerre de l'inondation d'Al-Aqsa, où les incendies dans le nord occupé sous la pression des tirs de Katyusha libanais ont causé de lourdes pertes aux agriculteurs colons dans les secteurs des fruits, des vins et du miel.

Sagiv Burim, directeur de la société de développement de la Galilée, a déclaré au journal Jerusalem Post que des centaines d'hectares de vergers de pommes, de poires et de raisin de cuve ont été brûlés à cause des récents tirs.

Le journal a rapporté que la hausse de la température et la sécheresse pendant les mois d'été augmentent la susceptibilité des vergers à s'enflammer dès la moindre étincelle causée par les roquettes, ce qui n'était pas habituel pendant l'hiver.

Burim a ajouté qu'il n'a pas encore pu comptabiliser l'ampleur des terres endommagées en raison de la difficulté de la situation, mais les vergers détruits remplissent l'horizon pour quiconque regarde sur place.

Burim a expliqué que les dégâts seront durables car les nouveaux arbres ont besoin de quatre ans pour pouvoir produire des fruits, ce qui signifie une crise des récoltes de fruits et de vins qui se poursuivra pendant des années même après la fin de la guerre.

Dorom Levni, président de l'Union des apiculteurs israéliens, a déclaré qu'il prévoyait la destruction de dizaines de ruches lors des incendies causés par les récents tirs, ajoutant que les pertes pourraient dépasser les prévisions.

Levni a précisé que les incendies ont atteint les fleurs dont se nourrit l'abeille, ce qui signifie une pénurie de ressources pour la période à venir, tandis que la solution sera la nutrition des abeilles avec des compléments alimentaires qui affecteront négativement la qualité du miel.

Burim a souligné que l'état des agriculteurs est mauvais tandis que la colère les domine sans qu'ils puissent provoquer aucun changement.