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Publié: mars 6, 2025
Avec l'intensification de la concurrence pour la direction du Parti libéral du Canada, les réseaux sociaux sont devenus un terrain principal pour les candidats afin de rassembler du soutien et de communiquer avec les électeurs. Alors que les stratégies des campagnes numériques varient entre les concurrents, une analyse récente révèle l'impact de la présence en ligne sur leurs chances dans la course.
Chrystia Freeland, ancienne vice-première ministre et ministre des Finances, s'est imposée comme l'une des candidates les plus actives sur les plateformes numériques, s'appuyant sur des vidéos et des messages de campagne interactifs pour renforcer sa vision politique, tirant parti de sa position éminente au sein du parti.
Quant à Karina Gould, ancienne ministre des Affaires familiales, elle s'est concentrée sur la communication directe avec les électeurs via les réseaux sociaux, appelant à un « renouvellement du leadership », ce qui a suscité une forte interaction parmi les jeunes générations au sein du parti.
En revanche, Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque du Canada, adopte une approche plus prudente dans sa stratégie numérique, s'appuyant sur son réseau de relations dans les milieux économiques et politiques pour renforcer sa position dans la course.
Frank Baylis, ancien député de Montréal, a mis l'accent sur le soutien aux causes communautaires, utilisant les réseaux sociaux comme plateforme de communication avec les électeurs, en particulier au sein des communautés diverses. Baylis compte sur une base solide de partisans, notamment dans les milieux adoptant une approche progressiste au sein du parti.
Avec la dépendance croissante aux plateformes numériques comme outil électoral clé, l'impact de ces stratégies digitales demeure un facteur décisif pour déterminer l'identité du prochain leader du Parti libéral, dans une compétition acharnée reflétant un changement dans les méthodes des campagnes politiques modernes.
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