Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a déclaré que le gouvernement libéral examinera l'imposition de sanctions pénales sévères aux voleurs de voitures.

Trudeau a souligné dans un discours devant les responsables que les taux de vol de voitures au cours des dernières années sont un sujet

d'une attention remarquable et inquiétante, et il a indiqué qu'il s'agit d'un crime organisé devenu plus audacieux, avec une expansion du marché extérieur des voitures volées.

Dans ce contexte, Trudeau a attaqué l'ancienne gouvernement du Parti conservateur, qui a réduit les dépenses en matière de sécurité des frontières ; ce qui a rendu plus difficile d'empêcher les voitures volées de sortir du pays.

Dans son discours, Trudeau a également porté un coup dur à Pierre Poilievre, son rival conservateur, qui l'avait critiqué auparavant

et accusé Trudeau d'avoir causé la propagation des vols de voitures en étant occupé par d'autres dossiers, tandis que Trudeau a déçu ses attentes et a nié les accusations de Poilievre par ses déclarations sur sa nouvelle politique pour faire face à la crise de la propagation des vols de voitures.

Trudeau a souligné que la lutte contre ce phénomène passe par l’adoption de mesures plus strictes, et l’intervention des forces de l’ordre, des services frontaliers, des autorités portuaires, des compagnies d’assurance et de l’industrie automobile.

Il convient de noter que le gouvernement fédéral a indiqué qu’environ 90 000 voitures sont volées chaque année à travers le Canada, ce qui engendre des coûts atteignant un milliard de dollars pour les détenteurs de polices d’assurance et les contribuables canadiens.