Nouvelles du Canada arabe
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Publié: décembre 3, 2024
Un naïf et un imbécile est celui qui croit que les choses de la vie se déroulent au hasard, et que la tolérance s'adresse aux imbéciles et aux criminels, et que les jours suffisent à guérir les blessures intentionnelles qui sont souvent profondes dans le cœur, et leur douleur et leur souffrance sont permanentes et profondes, alors il y a un droit de réponse et le titulaire du droit est celui qui détermine comment, quand et où répondre !.
Le droit, ce mot qui porte en lui les significations de justice, dignité et équité, est un mot grandiose, et le droit reste toujours vivant dans le cœur de ceux qui le possèdent, quel que soit le temps qui passe ou l’intensité des épreuves.
Les détenteurs du droit ne dorment pas, car la flamme du droit qu’ils portent ne s’éteint pas, elle s’enflamme de plus en plus avec le temps, et les pousse à le réclamer quelles que soient les circonstances, et peu importe si d’autres essaient de l’enterrer ou de l’effacer.
Le droit ne s’éteint pas par prescription
Le temps n’annule pas le droit, il le rend plus solide et plus fort. La cause qui repose sur la justice et l’équité ne perd pas sa légitimité avec le changement des conditions ou le passage des années, quelle que soit leur nature, leurs impacts ou leurs objectifs.
C’est pourquoi il est utile de savoir que les droits, qu’ils soient individuels ou collectifs, restent protégés dans la conscience humaine et la sensibilité collective, sauf pour les criminels, si leurs blessures ne sont pas rouvertes aujourd’hui, elles seront profondes, douloureuses et blessantes.
Les peuples qui ont subi l’injustice et la colonisation, par exemple, n’ont pas renoncé à leurs droits malgré les longues décennies d’occupation et de répression, mais ont continué à lutter pour eux jusqu’à les arracher. De même, les individus victimes d’assassinat de personnalité ne peuvent ignorer les facteurs de ciblage, même si le temps passe, ce droit leur est garanti.
Les détenteurs du droit ne trouvent pas le repos
Celui qui possède un droit sait que le silence et la soumission ne sont pas des options, et les détenteurs des droits sont des soldats infatigables, ils avancent sur leur long chemin portant la flamme de l’espoir et de la justice. L’histoire est remplie d’exemples d’individus et de peuples qui se sont dressés contre les tyrans les plus féroces et les régimes injustes pour récupérer leurs droits, car ils ont compris que renoncer signifiait trahir la dignité et les générations futures.
Le droit est une force invincible
Le droit n’est pas simplement une revendication, c’est une force qui ébranle les fondements du faux, car il tire sa légitimité des valeurs humaines. Cette force donne aux détenteurs du droit une patience et une détermination inébranlables. Au fil du temps, les expériences ont prouvé que les droits ne meurent pas, mais restent vivants dans la mémoire de leurs détenteurs et de leurs descendants jusqu’à ce qu’ils soient réalisés.
L’histoire n’oublie pas
Certains peuvent essayer d’enterrer les droits sous les décombres de l’oubli ou de falsifier les vérités, mais l’histoire n’oublie pas. Les droits spoliés restent un témoignage de l’injustice, et la justice différée reste un objectif noble. Du droit au retour des peuples déplacés aux revendications d’équité et de liberté, l’histoire reste le gardien de ces causes, les ramenant à la surface quelles que soient les tentatives d’effacement.
En conclusion : le droit est un dépôt qui ne se perd pas
Le droit est un dépôt dans la conscience de ceux qui le possèdent, et ses détenteurs ne trouvent pas le repos tant qu’ils ne l’ont pas obtenu. Parmi les gens, le droit est la base de la justice et le secret de la cohésion sociale. Par conséquent, il ne s’éteint pas par prescription ni ne disparaît avec le changement des circonstances, mais reste stable comme l’étoile qui guide les opprimés pour réaliser la justice et restituer les droits à leurs propriétaires.
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