Les autorités ont confirmé que deux personnes ont perdu la vie après le crash d'un avion dans une région isolée près de Squamish en Colombie-Britannique vendredi.

En début d'après-midi samedi, la Gendarmerie royale du Canada à Squamish (Squamish RCMP) a déclaré qu'elle n'avait pas encore pu accéder au site du crash pour confirmer les détails. Des équipes de recherche et de sauvetage ainsi que le Centre de coordination des secours interarmées des Forces canadiennes à Victoria ont été mobilisés, et le service médico-légal de la Colombie-Britannique a été informé.

La police a déclaré dimanche qu'elle s'était rendue sur le site du crash situé au sud de Squamish, sur la rive ouest de Howe Sound.

La police montante a écrit dans un communiqué de presse : « Une fois arrivés sur les lieux, il a malheureusement été confirmé que les occupants de l'avion n'ont pas survécu ».

La police a indiqué qu'elle travaillait avec le Bureau de la sécurité des transports du Canada et le service médico-légal de la Colombie-Britannique pour enquêter sur la cause de l'accident.

Le communiqué ajoutait : « La Gendarmerie royale du Canada tient à remercier Squamish Search and Rescue, Blackcomb Helicopters et de nombreux membres du public qui ont participé à la localisation et à l'accès au site de l'accident ».

La police a déclaré avoir été alertée de l'accident vendredi soir via une notification automatique d'incident provenant d'un smartphone. Interrogé sur sa réponse, le centre a déclaré avoir été informé d'un « retard d'arrivée d'un avion privé » peu avant 18h30.

Le Centre de coordination interarmées a envoyé un hélicoptère CH-149 Cormorant et un avion CC-130 Hercules pour rechercher le petit avion, en se concentrant sur le mont Ellesmere et la région environnante.

Peu de temps après leur envoi vendredi soir, les deux appareils Cormorant et Hercules sont retournés à leur base « en raison de l'aggravation des conditions météorologiques difficiles », a indiqué le comité de coordination interarmées, ajoutant que la GRC lui avait signalé samedi que ses ressources n'étaient plus nécessaires.